Né le 17 Novembre 1697 à Bais, Mayenne, Pays de la Loire, France
Décédé le xxxx à xxxx
- A été baptisé le jour de sa naissance, son parrain fut Henri LOTTIN, et sa marraine Jeanne HORT (A.D. de Mayenne : page 35/129 des registres pour cette période).
- Au moment de son mariage résidait à Bais. Son père était présent, sa mère que citée. Était assisté par son frère Guillaume (A.D. de Mayenne : page 32/169 des registres pour cette période).
- Décédé en son domicile et a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse en présence de sa fille Catherine (A.D. de Mayenne : page 23/283 des registres pour cette période).
A.D. de Mayenne
Le 12 Juin 1725 à Bais, Mayenne, Pays de la Loire, France
Les enfants
Née vers 1697 à xxxx
Décédée le 21 Septembre 1771 à Hambers, Mayenne, Pays de la Loire, France
- La période de sa naissance provient de son acte de mariage.
- Au moment de son mariage résidait à Bais. Son père était décédé, et sa mère que citée. Était assistée par ses oncles Marin CHAPPELIÈRE et Thomas CHARDRON
(A.D. de Mayenne : page 32/169 des registres pour cette période).
- Décédée en son domicile, et a été inhumée le 22 Septembre dans le cimetière de cette paroisse en présence de son mari et de ses enfants Michel, Joseph, et Jean, et de son gendre François CHENAU
(A.D. de Mayenne : page 187/193 des registres pour cette période).
- Dans l'incertitude j'ai pris les données telles qu'elles sont écrites sur les différents actes la concernant, mais je me demande si elle n'est pas la s½ur de Jeanne, l'épouse de son beau-frère Guillaume. Nous avons
le même patronyme, et cette Jeanne eut une s½ur prénommée Françoise, née en 1697. Leurs pères sont aussi prénommés Jean, tous les deux décédés au moment de leurs mariages, il se pourrait que ce soit donc une seule
et même personne. Leurs mères sont aussi prénommées de la même façon, Françoise, par contre leurs patronymes sont différents, ROYER pour l'une, LAUNAY pour l'autre. Mais en sommes nous certains, car les transcriptions
étaient essentiellement orales à ce moment, les préposés à l'écriture des actes, les officiers religieux en cette période, n'étaient pas tous très lettrés, surtout dans les petites paroisses.
A.D. de Mayenne
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