La prochaine rencontre des camarades du Cours Complémentaire de Pointe Pescade est prévue pour le mois de Mai 2007, et depuis notre rencontre du 9 Septembre 2006, il y a eu beaucoup de nouveautés, ce que ce chapitre décrit.
Après notre rencontre de Septembre, courant Octobre, nous avons fait le point sur nos recherches afin de voir si nous avions oublié un axe de recherche, ou changer notre méthode de travail, pour retrouver les quelques camarades qui nous manquaient. Et là en consultant les différentes photos de classe et de sport en notre possession, nous avons constaté que nous avions omis pratiquement l'ensemble des camarades qui n'avaient accompagné le groupe qu'en 6e et 5e, ainsi que quelques camarades de sport fréquentant d'autres classes de l'école.
Ce chapitre présente les camarades oubliés, et les recherches et retrouvailles qui en découlèrent. Et là nous allons constater qu'en élargissant la recherche, nous avons aussi retrouvé au moins un camarade que nous recherchions depuis le début de ce travail de mémoire.
D'abord et avant tout, nous présentons nos excuses à tous nos camarades que nous avons oubliés d'intégrer dans nos recherches, dès le début où nous les avons entreprises. Et ensuite, dans l'euphorie des retrouvailles, nous avons oublié de faire le point sur ces recherches, et ce n'est qu'un moment sans résultat que nous avons voulu revoir nos méthodes de travail, et c'est en effectuant cette analyse que nous nous sommes aperçus de cet oubli. Loin de nous l'idée de ne pas les inclure au départ. Il faut recadrer ce travail, et ne pas oublier que Lucette voulait retrouver ses camarades de classe, mais voyant la tâche ardue, elle s'est ancrée à ses souvenirs les plus récents et certainement ceux qui ont accompagnés sa période d'adolescente des 14 à 17 ans.
Revenons à nos camarades oubliés, et le mieux est de reprendre les photos des classes de 6e et 5e, et de les mettre en valeur. Comme pour ces deux classes, et uniquement pour les photos, les filles et les garçons sont séparés, nous auront donc une série de quatre photos.
Les filles oubliées de la classe de 6e de 1955-1956
(les camarades oubliées sont mises en valeur dans la liste ci-dessous)
Les garçons oubliés de la classe de 6e de 1955-1956
(les camarades oubliés sont mis en valeur dans la liste ci-dessous)
Les filles oubliées de la classe de 5e de 1956-1957
(les camarades oubliées sont mises en valeur dans la liste ci-dessous)
Attention : nous ne prenons pas en compte les camarades de la classe de sixième incluse sur cette photo, et qui est mise entre parenthèses dans la liste ci-dessous.
Les garçons oubliés de la classe de 5e de 1956-1957
(les camarades oubliés sont mises en valeur dans la liste ci-dessous)
Attention : nous ne prenons pas en compte les camarades des autres classes inclus sur cette photo. Les classes sont mises entre parenthèses dans la liste ci-dessous.
Après avoir fait le constat sur les classes de 6e et 5e, passons aux camarades de sport, les filles puis les garçons.
L'équipe de volley féminine
(les filles oubliées sont mises en valeur dans la liste ci-après)
L'équipe de volley masculine
(les garçons oubliés sont mis en valeur dans la liste ci-après)
Pour récapituler, en fusionnant les camarades oubliés garçons et filles, et des classes de 6e et 5e et du sport, et en incluant le camarade dont nous ne nous souvenons plus du nom, il y a 18 camarades (pas qu'un peu) à intégrer dans nos recherches. Par ordre alphabétique, nous avons :
Madeleine Allès, Jean-Claude Arrambide, Gérard Badie, Michèle Benaza, Gérard Borriello, Georges Campello, Rose-Marie Dominguez, Jacqueline Donizetti, Jean Garcia, Antoine Jaquinto, Claudia Muscat, x Paolilo, Georges Réty, François Riva, Monique Sambucchi, Hubert Santacreu, Linda Serrano, X
Du pain sur la planche et du grain à moudre pour retrouver ces personnes, mais la difficulté ne nous faisant pas peur, c'est avec enthousiasme que nous avons entrepris Lucette et moi, ces recherches, et comme vous allez le découvrir dans la section suivante, avec un certain succès.
Fort de cette liste de nouveaux camarades à retrouver, nous avons réutilisé nos méthodes de recherche déjà bien éprouvées, et qui nous avaient donné satisfaction, malgré le fait qu'il nous restait quelques camarades à trouver. Mais avant de nous attaquer à ce travail, Lucette voulu rétablir des liens avec Linda Serrano. Beaucoup de camarades du groupe avaient eu des contacts avec Linda depuis leur rapatriement, Lucette notamment, mais par les aléas de la vie, il y eut une rupture. Nous réussîmes à obtenir le numéro de téléphone d'une amie de Linda habitant Lyon, qui nous donna ses nouvelles coordonnées. Ainsi, Lucette put à nouveau joindre Linda en début d'automne, et rétablir les liens entre sa camarade et le reste du groupe
Dans les recherches après l'intégration des camarades oubliés, la plus facile à retrouver fut Monique Sambucchi. Nous avions obtenu ses coordonnées avant le mois d'Août, mais satané rangement, recevant nos petits enfants pour ce mois d'été, nous n'arrivions plus à remettre la main sur ce papier. En ce début de mois d’Octobre, je replonge dans la généalogie de mon beau-père (car la aussi je recherche, et nous étions en pleine retrouvaille avec des membres inconnus de sa famille), j'ai retrouvé ce document, rangé avec des papiers de généalogie. Aussitôt Lucette appela Monique, et renoua des contacts. Les amies furent toutes heureuses de se parler, et Monique dans les semaines à venir va avoir une forte contribution pour nous aider à retrouver un autre camarade de la première vague.
Aussitôt après avoir retrouvé Monique, et avec la complicité de Maria Rapallo, Anne-Marie Canu et Yvette Scotto, c'était au tour de Jacqueline Donizetti d'être découverte. Lucette ne se souvenait plus du prénom de sa camarade, et c'est Maria qui le lui rappela. De suite elle en informa les camarades retrouvés ayant Internet, afin de recueillir des indices sur Jacqueline. Immédiatement Anne-Marie nous téléphona pour nous dire que très certainement Yvette devait avoir les coordonnées de leur camarade. Lucette appela Yvette, qui effectivement lui donna les informations pour toucher Jacqueline. Nous comprenons parfaitement qu'Yvette ne soit pas trop préoccupée actuellement par ces recherches, car elle a de gros soucis familiaux à gérer, qui doivent lui accaparer tout son temps. Comme pour Monique, Jacqueline va nous amener beaucoup d'indices sur les camarades à rechercher.
J'avais en mémoire les noms de la première vague de camarades recherchés à chaque fois que je naviguais sur les sites Internet Pieds-Noirs (ceux de Bains Romain, Pointe Pescade, Saint Eugène et Alger), pour éventuellement découvrir un message qui se référait à l'une des personnes recherchées. Avec les nouveaux noms en mémoire, je me suis replongé dans les messages de ces sites, et même dans leurs archives, toujours pour la même raison. Et dans le site des Bains Romains, je lis un message d'une personne qui remerciait le gestionnaire du site de permettre à des anciens camarades de se retrouver. Et dans son message il disait que le site lui avait permis entre autre de retrouver Jean-Luc Allès. Immédiatement j'ai fait la relation entre ce nom et celui de Madeleine Allès, camarade de classe de la 6e. Après plusieurs démarches pour obtenir les coordonnées de cette personne, je réussis à obtenir celles de Madeleine, et Lucette à la joindre le Vendredi 3 Novembre. Nous venions de retrouver une nouvelle camarade, mais vous allez voir qu'un effet "boule de neige" allait se produire.
Lors de ce premier contact entre Madeleine et Lucette, bien des informations furent échangées. Et lorsque Lucette fit état des camarades recherchés, immédiatement Madeleine nous dit que la personne que j'avais contacté pour la retrouver avait un beau-frère qui se nommait Riva, et qui était de la région de la Pointe-Pescade. Immédiatement j'ai tenté de recontacter cette personne, mais son activité professionnelle fit qu'il fallut attendre plusieurs jours pour que nous puissions lui parler. Lucette lui expliqua les raisons de notre démarche, et immédiatement il nous confirma que le mari de sa s½ur était un Riva, mais en fonction des dates de naissance, ce ne devait être que le frère de son beau-frère. Il nous donna les coordonnées de sa s½ur, qui après explication de notre part donna les coordonnées de François Riva, que vous n'avez eu comme camarade que pour quelques mois en 6e. Pour des raisons de santé il dut s'absenter plusieurs mois de l'école, et lorsqu'il fut rétabli, ses parents le placèrent dans une institution privé, afin qu'il rattrape le retard accumulé. Ceci explique que peu de camarades de classe n'ont de souvenir de lui, mais même s'il ne l'a été que pendant quelques mois, c'est un camarade de classe qu'il fallait retrouver. Ce qui est aussi exceptionnel sur cette recherche, c'est que François est le premier camarade retrouvé sans avoir son prénom. Ce n'est qu'une fois les liens rétablis que nous nous rappelâmes qu'il se prénommait François, comme quoi, même avec cet handicap, nous arrivons à retrouver des personnes.
Juste avant de retrouver François, nous avons reçu un appel téléphonique de Lucette Guillien, qui nous annonçait avoir retrouvé un camarade de sport, Gérard Borriello. Lucette l'appela immédiatement et elle lui expliqua le défit qu'elle s'était donnée. Pendant les minutes qui suivirent les deux camarades s'échangèrent des informations. C'est ainsi que Gérard lui annonça qu'il avait un contact avec un autre camarade de sport, Antoine Jaquinto, normal car ils sont pratiquement voisins. Après sa discussion avec Gérard, Lucette appela immédiatement Antoine, et là encore un sérieux échange d'informations eut lieu. Antoine donna également quelques informations sur un autre camarade de sport, mais qui à ce jour n'ont pas débouché sur un résultat concret.
Toujours en ce début du mois de Novembre, en consultant divers messages déposés par des internautes sur les sites Pieds-noirs du Web, je tombe sur un message d'un Saint Eugénois qui décrit l'environnement où habitait sa femme, et où il cite que celle-ci avait comme camarade Claude Réty. Ayant l'adresse électronique du dépositaire du message je le contacte et très rapidement, il me précise qu'effectivement les familles Réty et celle de son épouse étaient voisines et se fréquentaient. Mais en plus il me précise que le Claude Réty cité est une fille, mais qu'elle a un frère cadet prénommé Georges, qui peut être le camarade recherché. Il nous précise aussi la région où ce dernier vit actuellement, ainsi que sa probable profession. Fort de ces informations, nous recherchons un Georges Réty sur Digne les Bains, et c'est ainsi que nous reprenons lien avec ce camarade de 6e et 5e.
Quelques jours avant notre départ en croisière sur Alger, le 15 novembre, je visite le site "mitidjaweb", et surtout sa page "Saint Eugène", afin de consulter sa rubrique "Recherche". Je découvre qu'une personne ayant habité à Saint Eugène et vivant aujourd'hui en Israël, désire renouer des contacts avec d'autres anciens Saint Eugénois. Bien que son message déposé le 10 novembre précise qu'elle souhaiterait retrouver des camarades de sa confession, nous décidons d'y répondre, en précisant le nom d'une personne que nous espérons retrouver, et que plusieurs indices nous amènent à penser qu'elle vit en Israël. Deux jours après, nous partons pour la croisière sur Alger, et à notre retour, le vendredi 24 novembre, nous avons la joie d'avoir plusieurs réponses de cette personne. Quelle ne fut pas notre surprise de lire que la personne qui avait déposé le message initial, était tout simplement Michèle Benaza, la personne que nous recherchions. Immédiatement Lucette l'appela, et Michèle fut heureuse de cette reprise de contact. Michèle ne fréquenta le Cours Complémentaire qu'en 6e, mais comme elle habitait Saint Eugène, elle était aussi avec Lucette en primaire. Elle se souvient aussi très bien de Jean-Marie Lopez, qui fut un de ses voisins.
Début Janvier 2007, Monique Sambucchi nous appela pour nous souhaiter ses bons v½ux, et nous remercier du dernier numéro de notre petite revue que nous éditons régulièrement pour tous les membres de ce groupe de camarades. Elle voulut apporter sa contribution à nos efforts de recherche, en fournissant le maximum de noms du voisinage du camarade de classe Alain Fages, camarade que nous recherchons depuis le commencement du travail de mémoire de Lucette. Au cours de cet échange, Monique convaincue de notre efficacité, demanda à Lucette si elle pouvait lui trouver aussi deux s½urs qui étaient de ses amies. Sans rien lui promettre Lucette nota ces noms. Mais voilà, le problème des femmes, c'est qu'il y a une forte probabilité qu'elles perdent l'usage de leur nom pour celui de leur mari. Heureusement, des associations d'anciens élèves ou de quartier ont compris ce problème et très souvent elles juxtaposent les noms de jeunes filles avec leurs noms d'usage, et je me suis souvenu que j'avais lu le nom cité par Monique dans un document décrivant la réunion organisée par l'Amicale des pointus de Pointe Pescade. Et dans ce document, il y avait le nom marital d'une des s½urs.
Et bonheur, il y avait ce nom avec son prénom dans les pages blanches de l'annuaire. Lucette l'appela et lui expliqua la raison de son appel. Immédiatement elle précisa qu'Alain avait deux s½urs, une beaucoup plus jeune que lui et une autre légèrement plus jeune. Cette dernière se prénommé Josiane, et sans pouvoir l'affirmer, elle pense qu'elle avait gardé son nom de jeune fille. Aussitôt nous cherchâmes une Fages Josiane dans les pages blanches. Nous en avons trouvé une dizaine sur toute la France. Lucette prit le téléphone en main et commença par la première de la liste. Et coup de chance ou intuition, ce fut la bonne, c'était la s½ur du camarade de classe Alain Fages. Après des minutes de discussion entre les deux femmes, Josiane donna à Lucette le numéro de téléphone de Alain, et c'est ainsi qu'elle pût parler à son camarade après plus de 47 ans de séparation.
Nous savons que Alain Fages est un petit cousin de Alain Dipas, et Alain Dipas nous avait plusieurs fois répété qu'il y avait un médecin dans la famille de Alain Fages. Aussi lorsque Lucette discuta avec Josiane, elle se souvînt de ce détail et elle lui demanda s'il y avait un docteur dans sa famille. Immédiatement Josiane lui dit que oui, et que c'était le mari de la s½ur de sa mère, le Docteur Jean-Charles Bové. Et là Lucette crut s'évanouir, car ce Docteur était l'un des grand ami de ses parents, et c'est même lui qui la soigna lorsqu'elle attrapa la méningite dans sa jeunesse, comme quoi le monde est petit. Josiane lui précisa même que la femme de ce médecin était toujours de ce monde et qu'elle habitait dans la région niçoise, alors que son mari était décédé depuis très longtemps en Algérie. Mais ceci nous le savions, puisqu'il était un ami des parents de Lucette.
Evidemment l'information des retrouvailles de Alain Fages fut diffusée à tous les camarades possédant une adresse Internet, mais en plus Lucette prit le téléphone et appela Alain Dipas pour l'informer que son petit cousin était retrouvé, ainsi que la cousine germaine de son père.
Depuis le début de l'année 2007, nous avons lancé plusieurs demandes de renseignements sur nos camarades à rechercher. En effet, nous pensons avoir épuisé les souvenirs des camarades déjà retrouvés. Il nous faut des indices nouveaux, et il est possible que ces indices réveillent parmi nos amis des souvenirs cachés au profond de leur mémoire, ou mieux, que les personnes contactées puissent nous donner les coordonnées des camarades recherchés (on peut toujours rêver). Excellente initiative, car le Mercredi 17 Janvier, peu avant midi, nous recevons un appel téléphonique, et à l'extrémité de la ligne, il y avait Marie-Rose Dominguez. Marie-Rose avait été prévenue par un cousin que j'avais contacté directement ou indirectement (je ne m'en souviens plus très bien, comme je vous l'ai dit, nous avons tellement touché de personnes), et celui-ci lui avait donné nos coordonnées. Depuis lundi Marie-Rose naviguait sur notre site, consultant les pages dédiées au Cours Complémentaire de Pointe-Pescade, et n'osait nous joindre directement. Surmontant sa retenue, elle composa notre numéro et nous joignait donc ce Mercredi 17 Janvier. Lucette était heureuse, car bien que Marie-Rose fut dans la classe supérieure (elle avait un an de plus que Lucette), elle était une camarade de sport, jouant dans l'équipe de Volley féminine de l'école. Pendant plusieurs minutes, les camarades s'échangèrent des informations.
Nous sommes le 24 Janvier 2007, il est 22 heures 30, et avant d'éteindre mon ordinateur, je passe par ma messagerie, voir si j'ai reçu un ou plusieurs courriers. Et là, étonnement je lis un message dont l'objet est "Bains Romains Miramar" est dont l'auteur est tout simplement Hubert Santacreu, celui que nous recherchons. Hubert venait de lire un de mes messages que j'avais déposé sur le site "bainsromains.com" en Septembre 2005. Dans ce message je listais les noms des camarades recherchés des 4e et 3e. Comme Hubert n'a fréquenté les camarades que pour les deux premières années du Cours Complémentaire, son nom n'y figurait pas, mais par contre, il avait reconnu les noms de certains ou certaines camarades, et nous demandait de leurs nouvelles. Nous lui répondîmes de suite, et le lendemain nous pûmes le joindre au téléphone. Lucette conversa avec lui pendant plusieurs dizaines de minutes. Comme quoi il ne faut jamais désespérer du manque de retour des messages déposés sur le net, car nous avons là un exemple d'une retrouvaille suite à une annonce déposée 16 mois auparavant.
La petite retrouvaille du mois, en espérant qu'elle en annonce d'autres, et cette fois-ci, c'est encore plus fort que tout, nous avons retrouvé le camarade dont nous ignorions le nom ! Commençons par le début. Donc sur la photo de 6e des garçons, l'avant dernier vers la droite de la rangée du haut, le visage ne nous permettait pas de nous rappeler du nom. Le 26 Février 2007 au soir, je reçois un courrier de Georges Réty qui me dit que pour ce visage, il a comme nom Gérard Redalfo dit "Fanfan". Aussitôt je recherche sur le net, mais pas de Redalfo au rendez-vous. Néanmoins je transmet l'information aux camarades connectés sur Internet, en espérant qu'elle viendra réactualiser leur mémoire. Et la semaine dernière, coup de téléphone de Mohamed qui rentrait d'un énième voyage (c'est notre globe-trotter), et qui nous dit que le camarade s'appelle en réalité Redulfo, qu'il devait être de Guyoville, et qu'il courrait très vite car il le battait assez souvent à la course. Fort de cette nouvelle information, je recherche à nouveau sur le net, et là j'ai des Redulfo sur la région PACA. Lucette prend le téléphone et au premier contact, touche le frère de votre camarade, qui lui dit qu'effectivement ils habitaient Guyoville, et qu'il a un frère se prénommant Fernand (le surnom fanfan), de la tranche d'âge de vous tous, et qui a été effectivement en Cours Complémentaire de Pointe Pescade. C'est ainsi qu'au matin du 14 Mars 2007, nous avons réussi à joindre votre camarade de 6e, Fernand Redulfo.
Nous sommes le Vendredi, à 8 jours de notre journée de retrouvailles, et nous désespérons de retrouver d'autres camarades. De plus, devant accueillir la réunion, nous sommes dans les préparatifs, et de ce fait nous ne pouvons pas consacrer beaucoup de temps à ces recherches. Dans le cadre de ces préparations, Lucette contacta en ce début d'après-midi Serge, afin de coordonner leur arrivée (très important car il gère le vin et héberge Alain Sancho, qui lui vient avec l'apéritif...). Au cours de cette communication, Serge dit à Lucette qu'il avait retrouvé une liste d'élèves du primaire de Pointe-Pescade, admis en sixième, et dans cette liste il y a non seulement le prénom, mais aussi le nom avec le bon orthographe de Gérard Badie. Fort de cette information, nous nous précipitons sur l'annuaire des pages blanches internet, et nous récupérons cinq Badie Gérard inscrits. Après deux tentatives infructueuses, au troisième de la liste, Lucette trouva votre camarade, évènement que nous diffusâmes immédiatement.
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Cours Complémentaire de Pointe Pescade - Compléments de Septembre 2006, avant la prochaine rencontre de Mai
© Daniel Larcier - Mai 2007